VOUS NE COMPRENEZ PAS ENCORE ? Marc 8.
" Les disciples avaient oublié de prendre du pain, et ils n'avaient qu'un seul pain avec eux dans la barque... ils discutaient entre eux sur ce manque de pain.
Jésus s'en aperçoit et leur dit :
"Pourquoi discutez-vous sur ce manque de pain ?
Vous ne voyez pas ?
Vous ne comprenez pas ?
Vous avez le cœur aveuglé?.
Vous avez des yeux et vous ne regardez pas, vous avez des oreilles et vous n'
écoutez pas?Vous ne vous rappelez pas ?...
Seigneur nous sommes vraiment très petits ! Notre mémoire est "une passoire!"
Nous sommes surtout excessivement gourmands ! Notre amour n'est pas de l'AMOUR !
L'AMOUR, le VERITABLE AMOUR, le TIEN , est la GRATUITE MÊME ! Le nôtre est de l'ordre du :" Tu me donnes, je te donne" Nous pouvons, même, supprimer cette seconde partie :"je te donne" en effet, l'apôtre écrit:" Qu'as-tu que tu n'aies reçu?" Ce que nous croyons Te donner, est reçu de Ton Amour !Le "dramatique" c'est que nous oublions même cela: TOUT,VRAIMENT TOUT vient de Toi, de Ton Amour gratuit. Comme les apôtres qui discutent sur ce manque de pain, nous oublions beaucoup trop facilement que nous sommes dans TA main, dans ton cœur que nous n'avons rien à craindre. Tu nous invites à l'abandon, à la confiance absolue, comme est la confiance d'un enfant qui s'en remet EN TOUT, aux adultes qui lui montrent le chemin. Pardonne-nous ce désir puéril de réclamer des signes et encore des signes et d' oublier si vite ton compagnonnage de tous les instants ! Comprendrons-nous enfin ?
Nous sommes surtout excessivement gourmands ! Notre amour n'est pas de l'AMOUR !
L'AMOUR, le VERITABLE AMOUR, le TIEN , est la GRATUITE MÊME ! Le nôtre est de l'ordre du :" Tu me donnes, je te donne" Nous pouvons, même, supprimer cette seconde partie :"je te donne" en effet, l'apôtre écrit:" Qu'as-tu que tu n'aies reçu?" Ce que nous croyons Te donner, est reçu de Ton Amour !Le "dramatique" c'est que nous oublions même cela: TOUT,VRAIMENT TOUT vient de Toi, de Ton Amour gratuit. Comme les apôtres qui discutent sur ce manque de pain, nous oublions beaucoup trop facilement que nous sommes dans TA main, dans ton cœur que nous n'avons rien à craindre. Tu nous invites à l'abandon, à la confiance absolue, comme est la confiance d'un enfant qui s'en remet EN TOUT, aux adultes qui lui montrent le chemin. Pardonne-nous ce désir puéril de réclamer des signes et encore des signes et d' oublier si vite ton compagnonnage de tous les instants ! Comprendrons-nous enfin ?
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